Fête au village de Kernoa juin 2017
Xclus – Co&Co L’art de vivre ensemble mars 2018
Xclus / Paroles solidaires mars 2017
Xclus / Paroles solidaires septembre 2016
Fête au village de Kernoa juin 2016
Vide-Greniers / Vie de quartier en mai 2015 – Rue de Run Baëlan et à la Fabrique à paroles
La Fête au village de Kernoa – juin 2014 – photos des familles
Installation des épouvantails sur la place la république
La fanfare aux pruneaux
Les ateliers épouvantails
Noël prend ses quartiers en décembre 2013 rue Run Baëlan et à la Fabrique à Paroles
Collectage et création artistique de Tiphany et Magaly Salza pour l’ouverture de « La Fabrique à Paroles » en septembre 2013
Se mettre derrière le comptoir et monter sur l’échelle décrocher une histoire, ici, c’est accueillir les passants et leur proposer de s’installer pour lire et/ou écouter une histoire (ou en lire une à quelqu’un d’autre pour la partager). C’est un espace intégré au vide-grenier, dans la rue, un espace autour duquel on peut aller et venir, s’arrêter si on le désire et rester le temps qu’on souhaite.
Le vide-grenier (évènement dans lequel s’inscrit ce projet), c’est l’occasion pour ceux qui exposent de se débarrasser d’objets qui les encombrent ou dont ils ne se servent plus en les revendant à d’autres qui leur donneront un second souffle, un autre usage. On découvre un peu de la vie des gens étalée sur les trottoirs, les murets, les tables, les portants…, cette vue interpelle, on s’interroge.
Comme pour compléter cette ébauche, ce portrait involontaire et en creux du quartier par les habitants eux-mêmes, « Et avec ceci? Histoires à la carte », met à disposition des visiteurs des fiches où récits et anecdotes sont associés à des photographies et des documents collectés auprès de nos voisins durant 2 mois. Ces textes extraits d’entretien menés dans « La Fabrique à Paroles » (local de l’association: « L’Image Qui Parle » situé au nb 2 de la rue de Run-Baélan) avec des personnes résidant ou ayant résidé dans le quartier, l’ayant fréquenté régulièrement pendant une période donnée ou ayant été liées à lui de part leur activité professionnelle, invitent à une visite dans les épaisseurs d’un espace-temps stratifié et complexe (de 1910 à nos jours), marqué notamment par la naissance de la grande distribution.
Il ne s’agit pas d’une histoire linéaire mais du rassemblement d’une multitude de voix d’hier et d’aujourd’hui, de perceptions singulières qui mises en résonance, dessinent les contours d’un territoire aux frontières flottantes et nous le font vivre de l’intérieur. De cette géographie approximative, au détour de ces trajectoires de vie apparemment isolées et sans lien, émergent un peu de ce vécu commun qui éclaire le quartier d’une lumière nouvelle et nous aide à mieux en saisir son caractère propre.
Collectage de Gaspard Verdure – Crieur Public
A la l’invitation de L’image qui Parle, Gaspard a collecté des histoires et anecdotes qui nous raconte la mer sur le territoire de Paimpol-Goëlo. Des boîtes à paroles ont été déposées sur la communauté de communes de Paimpol-Goëlo ainsi qu’une boîte mail. Gaspard a récolté une trentaine de messages. Durant 2 jours Gaspard accompagné d’une amie Brigitte ont investi la rue et La Fabrique à Paroles pour s’imprégner du lieu et des histoires. Dimanche Gaspard fera une restitution en rue avec des interventions sous forme de criée de 10 minutes toutes les heures.
Quelques images des ateliers « brico/déco » pour l’ouverture de la Fabrique à Paroles en septembre 2013
Quelques images et impressions de notre première rencontre du dimanche 26 décembre 2012
C’est avec un doux mélange d’enthousiasme et d’inquiétude que nous attendions l’arrivée de nos voisins que nous avions conviés à cette première réunion dans notre lieu « La Fabrique la paroles ».
Enfin nous fûmes tout à fait rassurés quand à l’heure dite et pratiquement tous en même temps, nos voisins arrivèrent une bonne quinzaine en tout, ravis de se retrouver entre eux et tout aussi ravis de retrouver ce lieu que chacun avait connu sous des formes diverses qui un garage, une coopérative alimentaire, une poissonnerie, la torréfaction du café qui embaumait la rue, un centre Leclerc, un supra VB etc….
Les souvenirs commençaient déjà à s’égrainer tout en nous rassurant sur la justesse de notre projet de collectage de la mémoire du quartier, de notre quartier.
Il fallait maintenant songer à démarrer, Patricia, la présidente de l’association « l’image qui parle » après une présentation du lieu et de l’action qui y sera menée réussit à recueillir l’approbation des participants ».
L’aventure peut commencer…